Buno Behen
Les vêtements Buno Behen prennent vie grâce aux mains des artisanes indiennes, créatives et indépendantes.
Marque créée en 2022 à Redon (Bretagne, France).
À propos
Celebrating Indian Crafts & Craftswomanship
Maithili a grandi à Mumbai, dans le quartier animé de Dadar, où de nombreuses familles d’anciens ouvriers d’usines de textile habitent. Là-bas, les vêtements sont transmis de génération en génération, "recycler n’est pas une tendance mais un mode de vie". Maithili vivait entourée des femmes de sa famille, les a vu naviguer dans une société inégalitaire et patriarcale, ce qui a largement modelé sa vision du monde.
Après la rencontre avec son mari Yves, elle déménage en France en 2018. Alors qu’elle est licenciée de son travail pendant la pandémie de covid, elle lance Buno Behen, une marque qui trace un pont entre toutes ses valeurs : la mode et l’artisanat, l’upcycling et le faible impact, l’autonomisation des femmes, la solidarité et la sororité, les influences indiennes et françaises.
Enfant, Maithili a eu l’occasion de voyager dans l’Inde, où elle a découvert les marchés, les artisans, l’héritage vestimentaire du pays. Bruno Behen signifie d’ailleurs "sœur tissée", rendant hommage aux artisanes indiennes et leur savoir-faire traditionnel.
La marque propose des collections de vêtements dont les tissus sont fabriqués à la main par des artisanes indépendantes ou des ONG indiennes, à partir de "déchets textiles provenant d'usines certifiées GOTS". L’idée est de tisser un lien entre le savoi-faire indien, le respect de l’environnement et le marché mondial. "Une révolution de la mode n'est pas radicale, c'est le strict minimum".
10% des bénéfices annuels de la marque vont à des organisations engagées pour l'autonomisation des femmes, le développement de l'artisanat et de projets de micro-finance en Inde.
Cette marque respecte les critères Bien ou Bien
Maithili a créé une marque de mode qui lui ressemble, mêlant ses influences indiennes et françaises. Les vêtements sont fabriqués par des artisanes indiennes travaillant dans de bonnes conditions, à partir de tissus réutilisés.
Matières biologiques
Oui à des méthodes de production et de transformation sans produits chimiques de synthèse !
Matériaux upcyclés
Comme le meilleur déchet est celui qui n’existe pas, les rebuts et les vieux objets sont revalorisés, pour vivre leur meilleure deuxième vie.
Commerce éthique
Bien rémunérer les producteurs et productrices, tout en garantissant de bonnes conditions de travail, partout dans le monde : c’est la base.