Horée

Laurence, Arnaud et Fabrice ont tous les trois travaillé dans de grandes entreprises du secteur des cosmétiques. Ayant également tous un lien plus ou moins direct avec la culture des fruits et légumes, ils ont l’idée d’associer “le frais qui existe en alimentaire” et les cosmétiques. C’est ainsi que naît Freedge Beauty en 2017, devenu « Les Cosmétiques Frais » puis récemment « Horée ». Pour les fondateurs, “redonner du sens dans l’industrie de la beauté, c’est possible, grâce au frais”.

Des crèmes, des sérums, des masques… Tout y est ! La marque propose aussi des cures et des routines contenant plusieurs produits, pour un résultat en particulier, comme une “Bonne Mine” ou une “Peau Déshydratée”. “Nous assemblons des fruits et légumes frais bio de saison en fonction des besoins nutritionnels de votre peau”, explique l’équipe sur le site de la marque. Eh oui, les soins visage sont entièrement naturels puisqu’ils sont fabriqués à partir des végétaux pressés à froid. Ces derniers permettent d’obtenir des cosmétiques efficaces… Et qui sentent très bons ! Vegan et sans allergène, ils contiennent également des émulsionnants issus d’algues et du sucre fermenté.

Tous ces ingrédients, Horée les trouve chez 5 producteurs locaux. La marque a choisi de tout faire elle-même, du choix des maraîchers à l’expédition. Elle souhaite garder un circuit de production très court. “Nous fabriquons nos soins visage à moins de 500 km de chez vous. Notre objectif : toujours plus local”. Ainsi, l’impact carbone est réduit et l’économie française est favorisée. Comme les soins doivent rester frais, la production et la livraison se font rapidement. Une fois reçus, ils “conservent l’intégralité de leurs propriétés nutritionnelles 15 jours en salle de bain” et jusqu’à un mois au frigo !

La marque essaye d’être en constante évolution pour que sa démarche soit la plus responsable possible. Par exemple, elle souhaite changer les couvercles en aluminium de ses emballages et agrandir la filière du bio. “Quand nous serons une start-up plus grande, on aidera, à notre échelle, les maraîchers français qui le souhaitent, à se convertir au bio”.