Pomponne

Charline et Agathe se sont rencontrées dans une start-up de soins cosmétiques. Un jour, “après 5 ans à travailler ensemble dans la joie et la bonne humeur”, elles décident de lancer leur propre marque. Toutes les deux docteures en pharmacie, elles partent de trois constats: le maquillage, appliqué sur des zones fragiles, peut avoir une dimension de soin (par exemple en hydratant les lèvres !), on peut “consommer mieux jusque dans notre trousse à maquillage”, avec des produits à la composition “green et clean”, et enfin… “Sourire fait du bien” !

Evidemment, créer un rouge à lèvres idéal n’est pas une mince affaire : il a fallu 65 essais et plus d’un an de recherche… Mais le résultat est là. Le rouge Pomponne (disponible en 12 teintes) est aussi performant que son cousin synthétique conventionnel : bonne tenue, couvrance, pas d’effet de matière… Sauf qu’en plus, les sticks Pomponne, fabriqués en France, respectent une charte de formulation rigoureuse (actifs à l’efficacité prouvée cliniquement, de 95 à 100% d’ingrédients d’origine naturelle…), sans aucun ingrédient controversé présent dans la “Never List” de la marque (parabènes, phénoxyéthanol, silicones…).

Pour chouchouter les lèvres, Agathe et Charline ont ajouté dans la formule une algue de Saint-Malo (qui améliore leur taux d’hydratation, redessine leur contour et augmente leur volume) et des ingrédients sacrément hydratants (beurre de karité, beurre de mangue sauvage, aloe vera). Pour le mascara “booster de cils”, même état d’esprit : Made in France, avec 99,6% d’ingrédients d’origine naturelle, il fortifie les cils (notamment grâce à l’huile de ricin, aux fleurs de trèfle rouge associées à un peptide breveté, ou à la résine de pistachier Lentisque), tout en jouant sur la longueur et le volume.

C’est la touche finale, les emballages sont éco-responsables : le tube du rouge à lèvres est monomatériau, 100% recyclable. Du côté du mascara, le flacon et le bouchon sont en plastique végétal issu des résidus de canne à sucre. Il n’y a pas “d’étui secondaire” (la petite boîte en carton) ni de notice. Car “le meilleur déchet c’est celui qu’on ne produit pas” !